LES 22 È JEUX OLYMPIQUES D’HIVER.

Pamphlet en deux parties

A ceux qui n’ont pas voulu voir l’inauguration des jeux de Sotchi, je dis : vous avez raté une marche.
Comme je compte me rendre en Russie prochainement je ne souhaite point me fâcher avec la dirrigeance (= l’engeance qui dirige et régente d’une main de fer sans prendre de gant)

Pour moi le président est un vrai sportif qui s’affiche un peu trop, mais qui assure question gouvernance.
Ainsi, sa maîtresse n’est pas une actrice mais une championne de gymnastique, c’est elle qui passa la flamme au champion de Hockey juste avant qu’il alluma le feu Olympique.
La cérémonie fut toute empreinte de majesté Tsariste, Pierre le Grand, images de St Petersburg, bal matriochkas en costume empire, évocation de Tolstoï, hymne à l’amour via Dostoïevski.
Que de culture ! Les mots effacent les morts, la rime calme le crime.

Évocation de la révolution de 1917, un terrifiant train à vapeur, des roues rouges où tournent les gens comme des rats en cage et cette phrases : « Celui qui regrette la période soviétique n’a pas de cœur. »
A méditer dans les chaumières.

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