Le poème n’a aucun besoin d’un maître de cérémonie, il se suffit à lui même, il s’est obligé aux mots simples.
La mère fixe l’enfant
Qui regarde le miroir
Qui renvoie la lumière
Qui éblouit le père,
Qui ne perçoit
Ni l’un ni l’autre.
La lumière s’obscurcit
Et renonce comme la mère
Mais l’enfant rit face au miroir
Affichant sa liberté
L’enfant fixe la mère, le père, la lumière et disparaît